L’initiation Maçonnique est une Voie initiatique traditionnelle qui fait appel à un rituel, une règle, et un ensemble de symboles.

Le pavé mosaïque dans l’espace de la loge

Utilisé depuis des temps immémoriaux par les bâtisseurs, le pavage bichrome invite l’initié à s’aventurer sur le long et difficile chemin qui mène à la sagesse. Parcours semé d’embûches, fait d’alternances, de joies et de peines, mais qui donne un but, et offrira à celui ou celle qui se donne la peine de les chercher, les secrets de la dualité.

Le pavé mosaïque est un symboles que l’on retrouve dès l’origine de la Franc Maçonnerie. Sa présence est mentionnée dans des manuscrits anciens, tel le Édimbourg Register House de 1696, dans la description des Trois joyaux (une pierre taillée, un pavage quadrillé et un large ovale1), puis dans le Manuscrit Sloane de 1700 avec la même dénomination. On le trouve encore présenté dans la Convocation des Maçons Antédiluviens de 1726. Il est ensuite décrit dans les manuscrits Mason’s Examination (sous la dénomination de pavé d’équerre) et Wilkinson (désigné cette fois comme pavé mosaïque2), tous deux datés de 17273. Sa forme dans ces manuscrits d’époque n’est pas décrite de façon très claire: s’agit il d’un élément fixe de la loge, amovible, d’un tapis, d’un dessin sur le tableau de loge, de quelle taille est t-il ? Cette présence ancienne atteste en tout cas de la reprise dans le corpus symbolique de la franc-maçonnerie d’une spécialité des tailleurs de pierres anglais, les freestone masons, qui depuis l’époque Romaine perfectionnent et transmettent l’art du dallage polychrome.

On commence à avoir une vue plus précise de l’aspect physique du pavé dans la divulgation Masonery disected4 de la première édition (c’est à dire celle de 1730) : le mosaic pavment y est mentionné en tant que meuble (furniture) de la loge. Il est donc présenté comme un des éléments amovibles de la loge, ce qu’il demeure être dans les loges anglo-saxonnes régulières ou il est aujourd’hui souvent (mais pas systématiquement) représenté par un tapis bordé de triangles bichromes qui portent le nom de houppe dentelée (ce qui nourrit d’ailleurs une controverse ancienne sur la nature de la houppe dentelée dans la maçonnerie anglaise en regard de son interprétation dans la maçonnerie libérale5). Il est alors positionné au milieu de la loge.

Temple d’une loge régulière à Liverpool construit en 1912. Le pavé mosaïque occupe tout l’espace central de la loge est est bordé de houppe dentelée.

La franc-maçonnerie libérale d’Europe continentale a ensuite fait évoluer la représentation du pavé mosaïque, qui correspondait à sa propre tradition de bâtisseurs. Car le dallage mosaïque est très ancien en Europe : des exemples d’alternance de carrelages noir et de blanc s’observent dans l’atrium d’une maison romaine de Pella, en Macédoine6, où à Pompéi. Au moyen âge, le dallage noir et blanc (ou bichrome) est une des fonctionnalités visuelle des édifices religieux: on trouve ainsi un dallage bichrome à Notre Dame de Paris, dans la nef, ou dans la cathédrale d’Albi.

Pavage mosaïque de Notre Dame de Paris

On trouve aussi des pavés en damier noir et blanc avec des motifs variés, dans le transept, voir même dans le cœur des églises de cette époque. La plupart des labyrinthes – ceux d’Amiens, de Chartres sont eux aussi bichromes, combinant un double sens symbolique: celui du labyrinthe et celui de l’alternance du noir et du blanc. Et même si les fresques étoilées on souvent disparues des voûtes des cathédrales et églises, elles surplombaient bel et bien le pavé mosaïque, dans la plupart des églises Romanes puis Gothiques lorsque ces dernières ont été construites, exactement comme dans nos temples7.

Les nombreux pavages bichromes et le labyrinthe de la cathédrale d’Amiens (illustration Wikimédia Commons))

Le pavé mosaïque dans les temples maçonniques modernes

Qu’en es-t-il du pavé dans nos temples contemporains? Commençons par rappeler qu’aux débuts de la Franc Maçonnerie, en particulier au 18 ème siècle, les temples étaient amovibles ou temporaires et les tenues prenaient place dans des pièces d’habitation ou des salles privées d’auberges. Hors du fruit du hasard de la décoration, il n’existait donc aucun dallage mosaïque physique au sol prévu pour une pratique rituelle dans ces lieux de réunion – que ce soit en Angleterre ou en France – comme nous le montrent par exemple les gravures de Gabanon (1744) . De nombreuses illustrations, telle la représentation d’un temple dans l’édition de 1801 du Régulateur du Maçon(source de la conception des rituels pour les trois grades bleus, tant du REEA que du Rite Français) montrent elles aussi que la pièce utilisée pour la tenue est pavée d’un banal dallage uni-chrome d’habitation, sans particularité.

Gravure de Gabanon, initiation d’un apprenti : la tenue a lieu dans une pièce (probablement d’habitation) et le sol est commun. C’est sur le tableau de loge qu’est dessiné le pavé.

Ce n’est que lorsque les temples deviennent permanent, au cours du 19 ème siècle, que les pavés mosaïques deviennent fixes. Ils ne prennent pas alors la forme d’un pavé en réduction, comme on peut le voir aujourd’hui. Tant au Royaume Unis qu’en Europe. le pavé mosaïque sous forme d’un carré long d’assez petite taille situé au centre de la loge, parfois complété par un autre carré long situé à l’entrée du temple8 est alors inexistant. En réalité ces pavés miniatures n’apparaissent que tardivement, au 20 ème siècle, et probablement pour des raisons purement économiques (un petit pavage est moins cher qu’un grand )! Les Description de la loge du cahier rituel de la Grande loge de France9 (et aussi du rituel 1802 en vigueur un temps à la GLNF) atteste de ce fait en expliquant que le sol du local est idéalement constitué par un pavement de carreaux noirs et blancs composé comme un échiquier ou un damier et que l’on nomme Pavé Mosaïque. Autrement, on le rappelle en l’incorporant en réduction au centre du local à l’endroit où l’on place le Tableau de Loge!

Le terme idéalement ne laisse donc aucun doute sur le fait que le pavage complet de la loge est la norme et la réduction un pis aller. D’ailleurs, une des estampes les plus anciennes représentant une loge au REEA, contenue dans la section Décoration de la loge d’un manuscrit daté du premier tiers du XVIII ème siècle le confirme, en présentant le sol du temple recouvert d’un pavé noir et blanc10.

Cet ancien manuscrit du REAA conservé dans les archives du GODF et de la GLDF montre une représentation de la loge au grade d’apprenti avec son pavé mosaïque qui recouvre son sol intégralement.

Dans les fait, une part non négligeable des temples maçonniques en usage (quelque soit le rituel qui y est pratiqué, et l’obédience qui en est responsable) ont leurs sols intégralement recouverts par un pavage mosaïque : c’est le cas de temples récents comme ceux de la Grande Loge de France à Avignon au Grenier à sel (construit au début des années 2000), celui de Lançon de Provence11, celui de Bar Le Duc12, celui de Montpellier Bosserville13, celui de la Grande Loge de France à Piolenc 14 mais aussi d’autres temples beaucoup plus anciens tel celui de la Loge le Val d’Amour à Dole (propriété du GODF15), ou le temple d’Arras qui date de 190416. Dans des temples tel l’Église des Ortolans à Avignon17, ancien temple historique du GODF aujourd’hui abandonné (son compteur électrique à pris feu au début des années 2000), le dallage qui occupe l’entièreté de l’espace entre les colonnes nord et sud est mosaïque. Et au siège même des obédiences, on trouve là encore des sols de temples entièrement dallés d’alternance de noir et de blanc: rue Cadet, par exemple, les temples Eugène Roy ou Louise Michel sont ainsi équipés. Le temple Franklin Roosevelt de la Grande Loge de France rue de Puteaux aussi.

On peut probablement estimer à environ 10 % des temples en France dont l’intégralité du sol est recouvert par un pavé mosaïque et non figuré par une miniature. Un sur dix, c’est loin d’être anecdotique !

Il est donc attesté – à la fois par des preuves scripturaires mais aussi graphiques – que dans la tradition maçonnique, il est prévu que le pavé mosaïque recouvre tout le sol de la loge, et qu’en cas d’impossibilité, c’est le symbole, dessiné sur le tapis de loge (au REEA et dans les anciens rituels d’inspiration Moderne) qui le remplace. Le pavé est donc un élément symbolique constitutif de la loge, sur lequel il est prévu de marcher physiquement durant la tenue et pendant les initiations (puisqu’on a tout simplement pas le choix !) ou à défaut symboliquement, en faisant appel  à son imagination.

Vu ainsi, l’évocation symbolique proposée par les bâtisseurs des édifice religieux du moyen âge reprends tout son sens : la voûte étoilée représente le monde céleste et le pavement, les errements inhérents à la vie profane, les deux étant reliés par l’axe vertical représenté par le fil à plomb, au centre de la loge. C’est un agencement important car il nourrit et élargit l’approche symbolique qu’on peut avoir du pavé mosaïque et de son utilité dans le rituel. Dessiné sur le tableau de loge, il invite le maçon à une méditation par l’imagination sur le symbole, mais décorant le sol de la loge, il l’invite à une méditation active, en l’utilisant physiquement, comme il pourrait le faire d’un outil par exemple.

Les chemins du pavé mosaïques …

Marchant sur les carreaux, le maçon découvre que les lignes qui les séparent invitent à emprunter un chemin d’équilibre entre le blanc et le noir : une troisième voie qui s’appuie sur la dualité tout en la dépassant, le noir est absence de couleur, alors que le blanc est la fusion de toutes les couleurs existantes, l’intersection est la voie du milieu, celle qui permet d’accéder au Centre de l’Union, quête ultime de tous les francs-maçons. On peut marcher sur une couleur, puis une autre, puis au milieu, à droite, à gauche, en haut, en bas.

Ces lignes, ces points et ces intersections [peuvent alors évoquer] le symbolisme universel de la croix, à savoir 18:

  • la dualité (les deux branches de la croix),
  • la réconciliation (les deux branches qui se coupent),
  • la manifestation (les quatre directions),
  • le principe créateur (le point central invisible).

Le pavé mosaïque n’est plus un espace interdit – littéralement tabou – il devient un lieu d’exploration. Ce qui était une métaphore de la vie dans l’édifice religieux, devient l’évocation du parcours initiatique dans la loge. Ce qui semble logique puisque rien, absolument rien, aucun écrit, aucun manuscrit, aucune gravure, aucune divulgation ne décrit ni n’explique le pourquoi de ce que serait un hypothétique tabou de l’espace du pavé mosaïque qui conduirait – par exemple – à l’interdiction de marcher dessus.

C’est un point très important car la promulgation d’un tabou est un acte d’une grande portée. Rappelons la définition du tabou qui en ethnologie, […] est un acte interdit parce que touchant au sacré, et dont la transgression est susceptible d’entraîner un châtiment surnaturel19.

La question de la sacralisation de tout ou partie de l’espace en loge – qui justifierait par exemple un tabou comme celui de l’interdiction de marcher sur le pavé mosaïque en réduction mérite d’être posée. On peut même profiter de l’occasion pour élargir la question : existe-t-il un ou plusieurs espaces sacrés dans la loge, avant, pendant, ou après la tenue ?

Rien dans le rituel Maçonnique n’évoque de sacralisation d’un espace : la phrase rituelle Nous ne sommes plus dans le monde profane indique que l’espace représenté par le temple, délimité par ses quatre points cardinaux, deux colonnes au nord et au sud, un occident et un orient, situé entre le ciel et la terre, respectivement matérialisés par une voûte et un pavage, est quelque part. Ailleurs, symboliquement ou réellement, entre le visible et l’invisible, allez savoir. En réalité peu importe : libre choix est laissé à chacun de chercher sa propre compréhension de cette phrase qui dit non pas ou nous sommes, mais ou nous ne sommes pas. Nous nous trouvons dans un autre référentiel un autre plan que celui du quotidien, rien de plus, rien de moins n’est dit.

Si on s’en tient au rituel, avant, pendant et après une tenue, aucun espace n’est sacralisé dans un temple maçonnique : le maçon peut marcher ou bon lui semble (y compris à l’Orient) et parcourir (ou piétiner, ou explorer) le pavé mosaïque si ça lui chante (tant qu’il respecte le rituel). Ainsi dénué de toute forme d’injonction et ramené à sa condition de symbole qu’on peut toucher, fouler, observer, le pavé mosaïque, devient plus qu’une simple alternance de noir et de blanc.

Marchant sur lui, l’initié parcours le pavé du levant au couchant, de l’ouest à l’est, passant du noir au blanc et cherchant le juste chemin, celui de l’équilibre. Ainsi […] naturellement, le pavé mosaïque devint le pavement du chemin initiatique qui permet de marcher en direction la Lumière, c’est-à-dire vers l’Orient ! Dans le temple maçonnique, il constitue le dernier tronçon qui permettra à l’initié de débuter son ascension […] vers la libération, en accédant au Débir ou au Naos, considéré comme l’antichambre de la destination espérée du processus initiatique20. Mais avant d’y parvenir, il va et vient sur le chemin lors des circumambulations autour du centre de la loge (défini par le fil à plomb), évoquant parfois un processus en spirale, le maçon tourne en rond sur le pavé, passant du blanc au noir, du progrès à la régression, du succès à l’échec, de la compréhension à l’ignorance.

Intériorisé, utilisé comme support de l’imagination active, le pavé mosaïque appelle maintenant à l’anagogie21, dépasser le sens littéral ou immédiat et à imaginer de nouvelles frontières.

Le pavé mosaïque ainsi libéré devient un archétype, un symbole immémorial du psychisme humain, fondamentalement universel : il est le blanc et le noir du mariage et du deuil, le yin et le yang de la médecine et des rapports sociaux en orient, une évocation du triomphe de la raison et de la logique (car c’est sur un damier alternant le clair et l’obscur que s’affrontent les joueurs d’échecs et de dames, source de nombreuses légendes, telle celle du Roi Balhait et son piège factoriel). Les Hommes ont très probablement rêvés de damiers et appris à discerner les opposés bien avant de construire des compas, des équerres et des cordes nouées. C’est en cherchant ces opposés et la frontière qui les sépare qu’ils ont découvert le pavé mosaïque. Marchant entre le blanc et le noir, le long de la fine ligne qui sépare les pavés, à la recherche de l’équilibre, de l’intermédiaire, qui permet d’accéder à la dualité. Étrange objet mathématique que cette ligne qui sépare le carré noir du carré blanc, à la fois finie, infinie et infinitésimale22 qui nous invite à ne pas nous tromper sur la nature de cette dualité.

Autel de la chapelle du Saint-Sacrement sur son pavé mosaïque dans la basilique de Saint Quentin (Wikimedia commons)

Les éléments de chaque opposés ne sont pas irréconciliables, ils sont indispensables. La démarche initiatique ne consiste donc pas à opposer ces éléments entre eux, mais plutôt à chercher à comprendre pourquoi ils ne peuvent exister l’un sans l’autre, et que c’est pour ce motif qu’ils sont indispensables à la vie :

  • la lumière n’existerait pas sans l’obscurité,
  • nous ne pourrions connaître le jour si nous n’avions la nuit
  • la vie ne pourrait pas exister sans la mort,
  • le succès ne pourrait pas exister sans l’échec,
  • la joie ne pourrait exister sans la peine

De tous ces opposés jaillit la création : la lumière opposée à l’ombre est source de toute vie. Sans vie ni mort, pas d’existence, pas d’identité. Autrement dit, le 3 ne peut naître que des contraires, du noir et du blanc, de l’acceptation de toutes les oppositions et de leur dépassement par la fraternité, menant à la sérénité, à la paix intérieure et au bonheur. Le trois né de l’union des contraires, du blanc et du noir, serait donc la clé de la sagesse, du discernement et du bien-vivre, le chemin de la Vérité.

Finalement, s’il existe un espace sacré dans la loge, c’est peut être celui défini par le ternaire que révèle le pavé mosaïque. Un espace abstrait, arithmétiquement illustré par le triangle, matérialisé par les deux surveillants et le V :. M :., évoqué par la beauté et la force qui donnent naissance à la sagesse, placés face au delta lumineux, triangle à trois côtés. Regardez bien: le 2+1 est partout dans la loge ! Et il commence par le pavé !

Ainsi compris, le pavé mosaïque devient alors pour l’apprenti qui le parcours physiquement ou mentalement pour la première fois, le jour de son initiation, un premier appel à la compréhension de l’univers ternaire des maçons, la clé qui lui permettra de comprendre tout le reste: la dualité qui révèle l’unité de la création.

J’ai dit

Sources

1 Are there any jewells in your lodge An Yes three, Perpend Esler a Square pavement and a broad aval

2 he Mosaick Pavement for the Master to draw his design upon

3 https://450.fm/2021/12/28/le-pave-mosaique-chemin-spirituel/

4 Page 9 de l’édition de 1730 – […] Mosaic pavement, blazing star, and indented tarfel

5 The Germans call it “die Schnur von starken Faden,” or the “cord of strong threads”, and define it as a border surrounding the tracing-board of an Entered Apprentice, consisting of a cord tied in lovers’ knots, with two tassels attached to the ends.https://dallas-freemasonry.com/ornaments-of-the-lodge-mosaic-pavement-indented-tessel-and-the-blazing-star/

6 https://fr.wikipedia.org/wiki/Pella_(cit%C3%A9_antique)#/media/Fichier:Pella_House_atrium.jpg

7 Voir par exemple ce document du Ministère de la Culture Française qui montre plusieurs exemples de ces voûtes dans le département de l’Eure : Service Territorial de l’Architecture et du Patrimoine de l’Eure (DRAC HauteNormandie). Connaissance n°3029 août 2012 màj 13 jan. 2013France POULAIN..

8 Comme dans le site Ségalier du temple de Bordeaux, ou plusieurs des temples d’obédiences libérales de Montréal

9 Cahier de Rituel du Premier Degré Symbolique, GLDF, édition 6012, page 5

10 Archives du Grand Orient de France, reprise dans le Guide des Maçons Écossais, Pierre Noël, A l’orient, 2006, page 145 et en couverture. On peut la voir également ici http://expositions.bnf.fr/franc-maconnerie/grand/frm_080.htm apparemment issue d’un manuscrit détenu par la GLNF

11A la Découverte des temples maçonniques de France, Page 88

12Ibid page 296-297

13Ibid page 476-477

14Ibid page 512-513

15A la Découverte des temples maçonniques de France, Page 18

16Ibid page 288-289

17https://www.avignonlacitemariale.com/chapelle-des-ortolans

18https://www.jepense.org/pave-mosaique-planche-apprenti/

19https://fr.wikipedia.org/wiki/Tabou

20https://www.idealmaconnique.com/post/le-pav%C3%A9-mosa%C3%AFque

21 Selon la doctrine des quatre sens de l’Écriture développée par les Pères de l’Église, le « sens anagogique » est le sens symbolique qui concerne les évènements à venir pour l’Église. Hiérarchiquement, dans les quatre sens de l’Écriture, il vient en dernier, après les sens littéral, allégorique et tropologique (ou moral).

22 https://fr.wikipedia.org/wiki/Nombre_réel